GENEALOGIE : LES ASCENDANTS EN LIGNE DIRECTE
de Bruno GOYENECHE
Jean de Gohenetche (lieu de naissance ?-vers 1739 environ
-décès à Bidache-1809)
et Marie Gouillardet (Bidache-1733-1811)
Arnaud Gohenetche (Bidache-1767-1834)
et Anne Tournier (Bidache-1764-1836)
Jean Goyeneche (Bidache-1798-Toulon-1861)
et Marie Paguessorhaye (Orbaiceta-Navarre-1800-Toulon-1856)
Joseph Goyeneche (Bidache-1826-Nice-1910)
et Thérése Baud (Toulon-1832-1862)
André Goyeneche (Toulon-1862-Nice-1943)
et Ursule Carlés (Nice-1872-1894)
Clément Goyeneche (Nice-1893-1984 )
et Paule Poutot (Aisey-Richecourt-1913-Nice-1998)
Bruno Goyeneche (Nice-1950)
mercredi 6 février 2008
La Tombe Basque
Dans la liste des souscripteurs du livre "la Tombe basque" de Louis Colas (1923), on peut trouver deux "Goyeneche" :
- le Docteur Edmond Goyeneche-conseiller général d'Ustaritz,
et
-Clément Goyeneche-Professeur à l'Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Nice-Artiste peintre et Architecte (1893-1984).
- le Docteur Edmond Goyeneche-conseiller général d'Ustaritz,
et
-Clément Goyeneche-Professeur à l'Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Nice-Artiste peintre et Architecte (1893-1984).
mardi 5 février 2008
Martin de GOIHENETCHE
dimanche 3 février 2008
Liste des maisons GOIENETXE avant 1500
Liste des Maisons "GOIENETXE" attestées dans la documentation médiévale avant l’an 1500.
Liste non exhaustive suivant Jean-Baptiste ORPUSTAN : « Les noms des maisons médiévales en Labourd, Basse-Navarre et Soule. »
Editions IZPEGI. BP 08.Place de la Mairie. 64430 St Etienne-de-Baïgorry.
http://pagesperso-orange.fr/izpegi/
Liste non exhaustive suivant Jean-Baptiste ORPUSTAN : « Les noms des maisons médiévales en Labourd, Basse-Navarre et Soule. »
Editions IZPEGI. BP 08.Place de la Mairie. 64430 St Etienne-de-Baïgorry.
http://pagesperso-orange.fr/izpegi/
SOULE
Etchebar : Goienetxe – franc (1520)
Atherey : Goienetxe – franc
Haux : Goienetxe –franc
Sibas : Goienetxe –franc
Abense de haut : Goienetxe – franc
Trois villes : Goienetxe – franc
Lacarry : Goienetxe - franc
Barcus : Goienetxe – fivatier
Idaux : Goienetxe - franc
Musculdy : Goienetxe – franc
Sauguis : Goienetxe – fivatier d’Aphate
Libarrenx : Goienetxe – franc (1337)
Espés : Goienetxe – botoys du podestat
BASSE NAVARRE
Amendeuix : Goienetxe - franc
Aïciritz : Goienetxe - franc
Larcevau : Goienetxe– fivatier de Saut
Pays de Cize
St Jean le Vieux : Goienetxe –dîmier de Roncevaux
Jaxu : Goienetxe – noble (1350)
Aïnhice : Goienetxe – noble (1293)
Bussunaritz : Goienetxe – noble (1366)
Behorleguy : Goienetxe – fivatier de Behorleguy
Ahaxe : Goienetxe – fivatier du Seigneur d’Ahaxe (1350)
Aïncille : Goienetxe – noble (1366)
Saint Michel le Vieux : Goienetxe – noble (1350)
Uhart-cize : Goienetxe – franc (1347)
Pays de Baïgorry
Ascarat : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Anhaux : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Irouleguy : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Oticoren : Goienetxe – fivatier du Seigneur d’Ahaxe
LABOURD
Etchebar : Goienetxe – franc (1520)
Atherey : Goienetxe – franc
Haux : Goienetxe –franc
Sibas : Goienetxe –franc
Abense de haut : Goienetxe – franc
Trois villes : Goienetxe – franc
Lacarry : Goienetxe - franc
Barcus : Goienetxe – fivatier
Idaux : Goienetxe - franc
Musculdy : Goienetxe – franc
Sauguis : Goienetxe – fivatier d’Aphate
Libarrenx : Goienetxe – franc (1337)
Espés : Goienetxe – botoys du podestat
BASSE NAVARRE
Amendeuix : Goienetxe - franc
Aïciritz : Goienetxe - franc
Larcevau : Goienetxe– fivatier de Saut
Pays de Cize
St Jean le Vieux : Goienetxe –dîmier de Roncevaux
Jaxu : Goienetxe – noble (1350)
Aïnhice : Goienetxe – noble (1293)
Bussunaritz : Goienetxe – noble (1366)
Behorleguy : Goienetxe – fivatier de Behorleguy
Ahaxe : Goienetxe – fivatier du Seigneur d’Ahaxe (1350)
Aïncille : Goienetxe – noble (1366)
Saint Michel le Vieux : Goienetxe – noble (1350)
Uhart-cize : Goienetxe – franc (1347)
Pays de Baïgorry
Ascarat : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Anhaux : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Irouleguy : Goienetxe – fivatier du vicomte (1350)
Oticoren : Goienetxe – fivatier du Seigneur d’Ahaxe
LABOURD
aucune
samedi 2 février 2008
Les GOYENECHE de la vallée du Baztan
Le patronyme GOYENECHE semble avoir son origine majoritairement dans la montagne basque : Navarre au sud, Basse-Navarre et Soule au nord des Pyrénées. Une branche illustre des Goyeneche a son berceau en Navarre : ses membres sont principalement originaires d'Irurita et Arizkun dans la vallée de Baztan, versant sud des Pyrénées.
Les Goyeneche originaires du Baztan ont un blason échiqueté d’argent et de sable. D’après l’étude réalisée par Francisco Miguel de Goyeneche en 1728 pour intégrer l’ordre de Santiago, les quatre quartiers portant deux fleurs de lys et deux loups qui se trouvent sculptés au "Palacio de Goyeneche" d’Arizcun, correspondent aux armes originales antérieurement à la concession du blason en échiquier par le roi Sanche VII de Navarre après la bataille de Las Navas de Tolosa.
Le plus célèbre des Goyeneche du Baztan est Don Juan de Goyeneche y Gaston (1656-1735) : éditeur, journaliste, homme politique et industriel, adepte de la philosophie des « Lumières ». Il crée le village de Nuevo Baztán et un complexe industriel ordonné autour du palais et de l'église. Il est le commanditaire de la construction à Madrid du Palais Goyeneche, qui sera réalisé par l’architecte José Benito de Churriguera dans la rue de Alcalá, et qui est aujourd'hui siège de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando.
Les Goyeneche originaires du Baztan ont un blason échiqueté d’argent et de sable. D’après l’étude réalisée par Francisco Miguel de Goyeneche en 1728 pour intégrer l’ordre de Santiago, les quatre quartiers portant deux fleurs de lys et deux loups qui se trouvent sculptés au "Palacio de Goyeneche" d’Arizcun, correspondent aux armes originales antérieurement à la concession du blason en échiquier par le roi Sanche VII de Navarre après la bataille de Las Navas de Tolosa.
Le plus célèbre des Goyeneche du Baztan est Don Juan de Goyeneche y Gaston (1656-1735) : éditeur, journaliste, homme politique et industriel, adepte de la philosophie des « Lumières ». Il crée le village de Nuevo Baztán et un complexe industriel ordonné autour du palais et de l'église. Il est le commanditaire de la construction à Madrid du Palais Goyeneche, qui sera réalisé par l’architecte José Benito de Churriguera dans la rue de Alcalá, et qui est aujourd'hui siège de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando.
vendredi 1 février 2008
Le Cadastre Napoléonien
Les Maisons de MIHORE (3), LOUSTAU(2) et JEAN de CAME (1) sur le CADASTRE NAPOLEONIEN
Origine historique :
La loi du 15 septembre 1807 donna naissance au cadastre parcellaire appelé communément "napoléonien", composé d'états de sections, de matrices de propriétés bâties et non bâties, et de plans. Napoléon voulait en faire à la fois un instrument juridique, pour établir la possession du sol, et un outil fiscal qui permettait d'imposer équitablement les citoyens aux contributions foncières.La rénovation générale des plans cadastraux napoléoniens fut prescrite par la loi du 16 avril 1930, en raison de la transformation du paysage foncier. Elle n'intervint effectivement que quelques années plus tard, entre 1950 et 1970. Les plans napoléoniens ont donc été une référence pendant plus d'un siècle.L'élaboration de ces derniers, dans le département des Basses-Pyrénées, commença en 1810 et se poursuivit, dans un premier temps, jusqu'en 1818. Après une interruption de 10 ans, sauf pour le canton de Garlin où l'opération se déroula jusqu'en 1825, les travaux reprirent en 1828 pour s'achever en 1846.
Site en ligne du Département des Pyrénées-Atlantiques :
http://sig.cg64.fr/R2/ciscripts/ci.php?appli=NAPOLEON
Origine historique :
La loi du 15 septembre 1807 donna naissance au cadastre parcellaire appelé communément "napoléonien", composé d'états de sections, de matrices de propriétés bâties et non bâties, et de plans. Napoléon voulait en faire à la fois un instrument juridique, pour établir la possession du sol, et un outil fiscal qui permettait d'imposer équitablement les citoyens aux contributions foncières.La rénovation générale des plans cadastraux napoléoniens fut prescrite par la loi du 16 avril 1930, en raison de la transformation du paysage foncier. Elle n'intervint effectivement que quelques années plus tard, entre 1950 et 1970. Les plans napoléoniens ont donc été une référence pendant plus d'un siècle.L'élaboration de ces derniers, dans le département des Basses-Pyrénées, commença en 1810 et se poursuivit, dans un premier temps, jusqu'en 1818. Après une interruption de 10 ans, sauf pour le canton de Garlin où l'opération se déroula jusqu'en 1825, les travaux reprirent en 1828 pour s'achever en 1846.
Site en ligne du Département des Pyrénées-Atlantiques :
http://sig.cg64.fr/R2/ciscripts/ci.php?appli=NAPOLEON
La MAISON "Jean de Came" à BIDACHE
En 1761, dans les registres paroissiaux de BIDACHE, on trouve l’indication suivante : décès de Jean Bordenave, charpentier, propriétaire de la Maison "Jean de Came".
Quelques années plus tard, en 1765, on relève le décès, toujours à "Jean de Came", de Jean DUCLEDON - ou de Cledon - également "charpentier".
Jean Ducledon ( ou du Cledon ou Cledon ou Cledou ), résident à "Jean de Came" était né à Bidacle le 30 juin 1727 – fils de Louis Ducledon et de Marie Duprat – et il avait épousé le 20 Février 1751 Marie GOUAILLARDET .
Marie Gouaillardet - ou Goaillardet ou Goalhardie - résidente à la Maison de "Mihore", était née à Bidache le 14 Février 1733 – fille de Barthélemy Gouaillardet et de Marie Peyresblanques.
Ils auront deux enfants : François Cledon, né le 2 septembre 1755 et Marie Clédon, née le 14 novembre 1757.C’est donc en 1767, six ans après le décès de Jean Ducledon que Marie GOUAILLARDET va se remarier avec Jean de GOYHENETCHE.
Quelques années plus tard, en 1765, on relève le décès, toujours à "Jean de Came", de Jean DUCLEDON - ou de Cledon - également "charpentier".
Jean Ducledon ( ou du Cledon ou Cledon ou Cledou ), résident à "Jean de Came" était né à Bidacle le 30 juin 1727 – fils de Louis Ducledon et de Marie Duprat – et il avait épousé le 20 Février 1751 Marie GOUAILLARDET .
Marie Gouaillardet - ou Goaillardet ou Goalhardie - résidente à la Maison de "Mihore", était née à Bidache le 14 Février 1733 – fille de Barthélemy Gouaillardet et de Marie Peyresblanques.
Ils auront deux enfants : François Cledon, né le 2 septembre 1755 et Marie Clédon, née le 14 novembre 1757.C’est donc en 1767, six ans après le décès de Jean Ducledon que Marie GOUAILLARDET va se remarier avec Jean de GOYHENETCHE.
Inscription à :
Articles (Atom)